lundi 5 octobre 2009

Lendemain de veille: 5/10/2009


Une passe parfaite, un résultat imparfait : l’invincibilité du Baltimore s’arrête à la ligne du 8 des Pats entre les doigts de Mark Clayton. Le receveur prend le blâme, mais les joueurs des Ravens pointent aussi les officiels dans la défaite.

Dans le choc des clubs à 3-0, première défaite des Jets avec coach Ryan et Mark Sanchez : le quart recrue avait l’air d’un quart recrue (3 INTs et un ballon échappé) au Superdome.

Cincinnati se sauve in extremis avec la victoire en prolongation à Cleveland. Peu importe la façon, tout ce qui compte pour les Bengals, c'est qu'ils sont à 3-1.

Chassez le naturel…les Lions pulvérisés en seconde demie par les Bears.

Une victoire, certes pour les Champions, mais une fin de match qui laisse encore pantois.

À la fin en Nouvelle-Angleterre, comme le rappelle Bob Ryan du Boston Globe, mieux vaut être chanceux que bon, mieux encore chanceux et bon comme les Pats hier.

Kyle Orton trouve l’enfant maudit Brandon Marshall et les surprenants Broncos galopent vers la victoire.

Avec Pennington et Porter absents, les remplaçants prennent la relève à Miami. Henne et la formation wildcat grugent plus de 37 minutes au cadran; et Cameron Wake martyrise la ligne offensive des Bills pour trois sacks.

Un cumulonimbus dans l’azur bleu des Giants : la cheville d’Eli Manning.

Toujours sans gain en 2009, Tennessee reste encore avec son quart Kerry Collins.

Trop peu est surtout très tard pour les Chargers à Pittsburgh.

Un monstre à deux tête : on savait la prouesse de l’attaque, or c’est la défense des Saints menée par Darren Sharper qui étourdie les Jets.

C’était le jour de la Saint-Patrick Willis à San Francisco.

La rédemption en seconde demie : l’épopée de Jason Campbell à DC.

Une attaque pitoyable, une défense horrible, les Bills sont en déroute : Dick Jauron aura la tête sur le billot face à Cleveland.

Il n’était pas supposé être là lui, mais Dwight Freeney joue et les Colts passent à 4-0.

Les fossoyeurs doivent ranger leurs pelles, Jacksonville est toujours en vie.

Au moins, on s’est battu jusqu’à la fin : on s’encourage comme on peut chez les Bucs.

(Photo : Fox/The Sun)