Du côté d’Indianapolis.
On ne peut poser cette question blasphématoire, à moins (bien sûr) que [Jim] Caldwell mène les Colts au Super Bowl, mais se peut-il qu’il soit un meilleur coach que Tony Dungy ?
-Bob Kravitz, Indianapolis Star
Un match d’anthologie pour Dallas Clark avec 14 attrapés et 119 verges.
Du côté de la Nouvelle-Orléans.
Les partisans des Saints en ont vu de toutes les couleurs depuis 43 ans.
Mais, ils n’ont jamais vu cela : 8-0.
-Jeff Duncan, Times-Picayune
On connaissait Lance Moore et Marques Colston, ce dimanche Drew Brees nous présente Robert Meachem et Devery Henderson.
Du côté de Cincinnati.
À chaque semaine, on vient au stade en pensant apercevoir une craquelure, que tout cela va se lézarder, or à chaque semaine on a tord.
-Paul Daugherty, Cincinnati Enquirer
Les blessures s’accumulent dans le camp des Bengals.
Du côté de Green Bay.
La défaite à Tampa marque le point abyssal de l’ère McCarthy.
-Mike Vandermause, Green-Bay Press-Gazette
Du fromage suisse: la ligne offensive accorde six sacs
Du côté de NY Giants.
Il est toujours hasardeux de graver R.I.P. sur la pierre tombale d’une équipe de la NFL, surtout avec encore sept matchs à jouer. Si la défaite de 21-20 n’était pas le dernier clou dans le cercueil des Giants, le martèlement, lui, est commencé.
-Steve Serby, New York Post
Une pénalité qui hantera Chris Snee pendant la semaine de relâche.
Du côté de la Nouvelle-Angleterre.
Cette fois les Pats n’ont pas paniqué et on résolut la combine.
-Ron Borges, Boston Herald
On ne peut poser cette question blasphématoire, à moins (bien sûr) que [Jim] Caldwell mène les Colts au Super Bowl, mais se peut-il qu’il soit un meilleur coach que Tony Dungy ?
-Bob Kravitz, Indianapolis Star
Un match d’anthologie pour Dallas Clark avec 14 attrapés et 119 verges.
Du côté de la Nouvelle-Orléans.
Les partisans des Saints en ont vu de toutes les couleurs depuis 43 ans.
Mais, ils n’ont jamais vu cela : 8-0.
-Jeff Duncan, Times-Picayune
On connaissait Lance Moore et Marques Colston, ce dimanche Drew Brees nous présente Robert Meachem et Devery Henderson.
Du côté de Cincinnati.
À chaque semaine, on vient au stade en pensant apercevoir une craquelure, que tout cela va se lézarder, or à chaque semaine on a tord.
-Paul Daugherty, Cincinnati Enquirer
Les blessures s’accumulent dans le camp des Bengals.
Du côté de Green Bay.
La défaite à Tampa marque le point abyssal de l’ère McCarthy.
-Mike Vandermause, Green-Bay Press-Gazette
Du fromage suisse: la ligne offensive accorde six sacs
Du côté de NY Giants.
Il est toujours hasardeux de graver R.I.P. sur la pierre tombale d’une équipe de la NFL, surtout avec encore sept matchs à jouer. Si la défaite de 21-20 n’était pas le dernier clou dans le cercueil des Giants, le martèlement, lui, est commencé.
-Steve Serby, New York Post
Une pénalité qui hantera Chris Snee pendant la semaine de relâche.
Du côté de la Nouvelle-Angleterre.
Cette fois les Pats n’ont pas paniqué et on résolut la combine.
-Ron Borges, Boston Herald
Un caméléon, ce Vince Wilfork.
Du côté de Chicago.
Un seul homme est responsable de la débâcle, celui qui porte la couronne. Et l’empereur [Lovie Smith] était nu dimanche.
-Mike Mulligan, Chicago Sun-Times
Un gnon expulse Tommie Harris.
Du côté de Philadelphie.
Un malaise qui a affligé les Eagles l’an dernier est revenu de façon impromptu hier soir.
Troisième-et-court.
-Paul Domowitch, Philadelphia Daily News
Rien de nouveau sous le soleil : Brian Westbrook encore absent.
Du côté de Baltimore.
Vous devrez faire appel à tous les psychologues inscrits dans le bottin téléphonique pour tenter de comprendre cette défaite.
-Kevin Cowherd, Baltimore Sun
Ray Lewis muet après le match.
Du côté de Houston.
Oui, oui, oui, ils [les Texans] sont à un poil d’être, très, très bons. Un pouce par-là, un pouce par-ci.
-Richard Justice, Houston Chronicle
« Je l’ai raté » -Kris Brown.
Du côté de Dallas.
Quelques fois la défense remporte les championnats. Quelques fois elle fait juste assez de jeux pour être le facteur clé dans le match qui couronne la première place de la division à la mi-saison.
-Tim Cowlishaw, Dallas Morning-News
Une averse de mouchoirs jaunes.
Du côté de San Francisco.
Parce que les 49ers n’ont pas fini, ils sont finis. Non pas finis comme dans polis ou vernis. Finis comme dans on se revoit l’an prochain.
-Scott Ostler, San Francisco Chronicle
Du côté d’Atlanta.
Altercation sur les lignes de côté : coach Smith au cœur de l’action.
Du côté de l’Arizona.
Kurt Warner a grandi en idolâtrant les Bears.
Laissé de côté, Anquan Boldin est furieux.
Du côté de Miami.
Les Dolphins ont désespérément besoin d’un receveur étoile.
-Dave Hyde, Sun-Sentinel
Joey Porter est bouche bée.
Du côté de Tampa.
Une entrée fracassante pour Josh Freeman.
À Raymond James, on saluait l’équipe de ’79.
Du côté de Jacksonville.
Oubliez le panache, une victoire des Jaguars à l’ancienne.
-Gene Frenette, Florida Times-Union
Les recrues volent la vedette.
Du côté de Seattle.
La victoire était une gracieuseté des Lions, la pire équipe assemblée depuis la famille du garçon dans le ballon.
-Art Thiel, Seattle P-I
Un nouveau record pour Matt Hasselbeck.
Du côté de San Diego.
Les Chargers gagnent « leur » marathon de New York.
Du côté du Tennessee.
Trop peu, trop tard : une deuxième victoire pour les Titans.
Du côté de la Caroline.
Après avoir passé la première demie à nous montrer ce qu’ils étaient capables, les Panthers ont passé la seconde à nous montrer ce qu’ils sont incapables.
-Tom Sorensen, Charlotte Observer.
Les blessures n’arrêtent pas John Kasay de botter.
Du côté de Kansas City.
Brûlé par les receveurs sur deux touchés, Mike Brown prend le blâme de la défaite.
Du côté de Washington, DC.
La seule lueur qu’il reste dans le calendrier des Redskins. Le 13 décembre contre Oakland.
-Mike Wise, Washington Post
Commotion cérébrale pour Clinton Portis.
Du côté de Détroit.
Les Lions, et pourtant, menaient 17-0.
(Photo : Coomer/Chronicle)
Du côté de Chicago.
Un seul homme est responsable de la débâcle, celui qui porte la couronne. Et l’empereur [Lovie Smith] était nu dimanche.
-Mike Mulligan, Chicago Sun-Times
Un gnon expulse Tommie Harris.
Du côté de Philadelphie.
Un malaise qui a affligé les Eagles l’an dernier est revenu de façon impromptu hier soir.
Troisième-et-court.
-Paul Domowitch, Philadelphia Daily News
Rien de nouveau sous le soleil : Brian Westbrook encore absent.
Du côté de Baltimore.
Vous devrez faire appel à tous les psychologues inscrits dans le bottin téléphonique pour tenter de comprendre cette défaite.
-Kevin Cowherd, Baltimore Sun
Ray Lewis muet après le match.
Du côté de Houston.
Oui, oui, oui, ils [les Texans] sont à un poil d’être, très, très bons. Un pouce par-là, un pouce par-ci.
-Richard Justice, Houston Chronicle
« Je l’ai raté » -Kris Brown.
Du côté de Dallas.
Quelques fois la défense remporte les championnats. Quelques fois elle fait juste assez de jeux pour être le facteur clé dans le match qui couronne la première place de la division à la mi-saison.
-Tim Cowlishaw, Dallas Morning-News
Une averse de mouchoirs jaunes.
Du côté de San Francisco.
Parce que les 49ers n’ont pas fini, ils sont finis. Non pas finis comme dans polis ou vernis. Finis comme dans on se revoit l’an prochain.
-Scott Ostler, San Francisco Chronicle
Du côté d’Atlanta.
Altercation sur les lignes de côté : coach Smith au cœur de l’action.
Du côté de l’Arizona.
Kurt Warner a grandi en idolâtrant les Bears.
Laissé de côté, Anquan Boldin est furieux.
Du côté de Miami.
Les Dolphins ont désespérément besoin d’un receveur étoile.
-Dave Hyde, Sun-Sentinel
Joey Porter est bouche bée.
Du côté de Tampa.
Une entrée fracassante pour Josh Freeman.
À Raymond James, on saluait l’équipe de ’79.
Du côté de Jacksonville.
Oubliez le panache, une victoire des Jaguars à l’ancienne.
-Gene Frenette, Florida Times-Union
Les recrues volent la vedette.
Du côté de Seattle.
La victoire était une gracieuseté des Lions, la pire équipe assemblée depuis la famille du garçon dans le ballon.
-Art Thiel, Seattle P-I
Un nouveau record pour Matt Hasselbeck.
Du côté de San Diego.
Les Chargers gagnent « leur » marathon de New York.
Du côté du Tennessee.
Trop peu, trop tard : une deuxième victoire pour les Titans.
Du côté de la Caroline.
Après avoir passé la première demie à nous montrer ce qu’ils étaient capables, les Panthers ont passé la seconde à nous montrer ce qu’ils sont incapables.
-Tom Sorensen, Charlotte Observer.
Les blessures n’arrêtent pas John Kasay de botter.
Du côté de Kansas City.
Brûlé par les receveurs sur deux touchés, Mike Brown prend le blâme de la défaite.
Du côté de Washington, DC.
La seule lueur qu’il reste dans le calendrier des Redskins. Le 13 décembre contre Oakland.
-Mike Wise, Washington Post
Commotion cérébrale pour Clinton Portis.
Du côté de Détroit.
Les Lions, et pourtant, menaient 17-0.
(Photo : Coomer/Chronicle)