J’avais trouvé un super costume pour l’Halloween : devin.
Dommage que l’Halloween c’était vendredi et non dimanche, sinon j’aurais obtenu au moins un 13 ou un 14 cette semaine.
À tout seigneur, tout honneur comme dit le dicton, je vais débuter par les équipes que j’ai vues évoluer durant mon périple.
J’avoue que j’ai le regard biaisé avec les Bucs. La manière dont ils ont annihilée les Panthers par une domination des trois phases de jeu (attaque, défense et unité spéciale) me laisse croire qu’il pourrait s’inspirer de l’exemple des Giants version 2007 et causer des dégâts. Le seul hic, le poste de quart. En parlant de quart, dimanche dernier au New Jersey, ironiquement, le meilleur quart avec le dossard numéro 4 n’était pas celui en vert et blanc, mais celui en rouge et blanc. Les Chiefs auraient dû se sauver avec la victoire, mais l’incapacité légendaire d’Herman Edwards de gérer ses fins de match leur a coûté la victoire.
J’adore la manière dont John Harbaugh utilise Joe Flacco. Rien de trop compliqué. Et ça marche. Défensivement, les Ravens peuvent rivaliser avec n’importe quel adversaire. Si Flacco reste dans cette zone de confort, je n’ai pas de souci pour Baltimore. Grosse victoire des Browns à Jackonville, très grosse victoire. Ils reviennent dans l’équation des éliminatoires. Soudainement cette partie devient des plus importantes. Le perdant se retrouvera dans le pétrin à la fois dans sa division et dans sa conférence.
Je l’ai dit, j’ai été déçu de la performance des Dolphins. Moi qui m’attentais à des jeux surprises à profusion, d'être sur le bout de mon siège, je n’ai pas été gâté. La clé pour Denver, stopper l’attaque "chat sauvage" à sa première tentative. Miami l’abandonne rapidement et devient une attaque très conventionnelle et par le fait même une proie facile.
C’était la première fois que je voyais Brett Favre en chair et en os. À le voir manger des coups, je pensais bien que c’était aussi la dernière. À le voir aussi à la fin de chaque séquence offensive se pencher la tête dans son cartable de jeux, me fait dire que le vieux Brett est encore en période de rodage. Rien de très rassurant pour un quart qui n’a jamais gagné à Buffalo.
Les Packers n’ont pas perdu de temps. Aaron Rodgers est avec eux au moins jusqu’en 2012. Comment nos invincibles Titans réagiront après avoir finalement battu les Colts sous les projecteurs?
C’est qui sont décevants ces Jaguars ! Les blessures à la ligne offensive font mal. L’attaque au sol dévastatrice avec ce monstre à deux têtes n’est plus qu’un vague souvenir. Un peu de baume avec une visite à Cincinnati. On l’espère.
Deux matchs qui ont perdu du lustre. Quand une équipe songe à utiliser Brooks Bollinger, c’est dire dans quel marasme sont plongés les Cowboys. Pour les Colts dimanche soir, il faut l’avouer c’est une question de survie.
Deux équipes sur la route auront l’occasion de prouver ce qu’ils ont dans le ventre. Les jeunes Faucons s’envolent vers le trou noir d’Oakland et les Cards devront se méfier de la renaissance des Rams sous l’égide de coach Haslett.
Pour une dernière fois, le maître (Holmgren) affronte son élève (Reid).
Big Ben en a marre de se faire frapper. Messieurs des Redskins soyez-en avisés.
Mes choix : Buffalo, Chicago, Jackonville, Baltimore, Arizona, Minnesota, Tennessee, Tampa Bay, Denver, NY Giants, Philadelphia, Atlanta, Indianapolis, Washington.
Saison 2008: 68/116
Dommage que l’Halloween c’était vendredi et non dimanche, sinon j’aurais obtenu au moins un 13 ou un 14 cette semaine.
À tout seigneur, tout honneur comme dit le dicton, je vais débuter par les équipes que j’ai vues évoluer durant mon périple.
J’avoue que j’ai le regard biaisé avec les Bucs. La manière dont ils ont annihilée les Panthers par une domination des trois phases de jeu (attaque, défense et unité spéciale) me laisse croire qu’il pourrait s’inspirer de l’exemple des Giants version 2007 et causer des dégâts. Le seul hic, le poste de quart. En parlant de quart, dimanche dernier au New Jersey, ironiquement, le meilleur quart avec le dossard numéro 4 n’était pas celui en vert et blanc, mais celui en rouge et blanc. Les Chiefs auraient dû se sauver avec la victoire, mais l’incapacité légendaire d’Herman Edwards de gérer ses fins de match leur a coûté la victoire.
J’adore la manière dont John Harbaugh utilise Joe Flacco. Rien de trop compliqué. Et ça marche. Défensivement, les Ravens peuvent rivaliser avec n’importe quel adversaire. Si Flacco reste dans cette zone de confort, je n’ai pas de souci pour Baltimore. Grosse victoire des Browns à Jackonville, très grosse victoire. Ils reviennent dans l’équation des éliminatoires. Soudainement cette partie devient des plus importantes. Le perdant se retrouvera dans le pétrin à la fois dans sa division et dans sa conférence.
Je l’ai dit, j’ai été déçu de la performance des Dolphins. Moi qui m’attentais à des jeux surprises à profusion, d'être sur le bout de mon siège, je n’ai pas été gâté. La clé pour Denver, stopper l’attaque "chat sauvage" à sa première tentative. Miami l’abandonne rapidement et devient une attaque très conventionnelle et par le fait même une proie facile.
C’était la première fois que je voyais Brett Favre en chair et en os. À le voir manger des coups, je pensais bien que c’était aussi la dernière. À le voir aussi à la fin de chaque séquence offensive se pencher la tête dans son cartable de jeux, me fait dire que le vieux Brett est encore en période de rodage. Rien de très rassurant pour un quart qui n’a jamais gagné à Buffalo.
Les Packers n’ont pas perdu de temps. Aaron Rodgers est avec eux au moins jusqu’en 2012. Comment nos invincibles Titans réagiront après avoir finalement battu les Colts sous les projecteurs?
C’est qui sont décevants ces Jaguars ! Les blessures à la ligne offensive font mal. L’attaque au sol dévastatrice avec ce monstre à deux têtes n’est plus qu’un vague souvenir. Un peu de baume avec une visite à Cincinnati. On l’espère.
Deux matchs qui ont perdu du lustre. Quand une équipe songe à utiliser Brooks Bollinger, c’est dire dans quel marasme sont plongés les Cowboys. Pour les Colts dimanche soir, il faut l’avouer c’est une question de survie.
Deux équipes sur la route auront l’occasion de prouver ce qu’ils ont dans le ventre. Les jeunes Faucons s’envolent vers le trou noir d’Oakland et les Cards devront se méfier de la renaissance des Rams sous l’égide de coach Haslett.
Pour une dernière fois, le maître (Holmgren) affronte son élève (Reid).
Big Ben en a marre de se faire frapper. Messieurs des Redskins soyez-en avisés.
Mes choix : Buffalo, Chicago, Jackonville, Baltimore, Arizona, Minnesota, Tennessee, Tampa Bay, Denver, NY Giants, Philadelphia, Atlanta, Indianapolis, Washington.
Saison 2008: 68/116